Sunday 13 February 2011
Du sinistre au business : une triste transition !
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Du sinistre au business : une triste transition !
«Des chalets sont vendus à plus de 150 millions de centimes. C'est ce qu'affirment les habitants des trois sites que nous avons visités. Certains sinistrés cherchent des acquéreurs avant de quitter leurs chalets pour une nouvelle habitation. Ces acquéreurs arrivent grâce à certaines complicités dans l'administration à légaliser leur titre de propriété. «Des attestations légalisant leur occupation des chalets leur sont délivrées. Souvent, ce sont des personnes aisées qui bénéficient d'un relogement et, par la même, elles revendent leur chalet. C'est un véritable business !», nous a expliqué Mebrouk 33 ans, rencontré au site de Haï Ben-Rahmoun (400-Chalets) à Corso. En effet, lors d'une virée dans les sites, nous avons constaté que certains chalets ne sont pas occupés. «Zone rouge» en signe de stationnement interdit, «Attention ! Chiens méchants»... sont entre autres inscriptions que les «propriétaires» ont pris la peine de placarder sur la porte d'entrée.
Agences de presses
Du sinistre au business : une triste transition !
«Des chalets sont vendus à plus de 150 millions de centimes. C'est ce qu'affirment les habitants des trois sites que nous avons visités. Certains sinistrés cherchent des acquéreurs avant de quitter leurs chalets pour une nouvelle habitation. Ces acquéreurs arrivent grâce à certaines complicités dans l'administration à légaliser leur titre de propriété. «Des attestations légalisant leur occupation des chalets leur sont délivrées. Souvent, ce sont des personnes aisées qui bénéficient d'un relogement et, par la même, elles revendent leur chalet. C'est un véritable business !», nous a expliqué Mebrouk 33 ans, rencontré au site de Haï Ben-Rahmoun (400-Chalets) à Corso. En effet, lors d'une virée dans les sites, nous avons constaté que certains chalets ne sont pas occupés. «Zone rouge» en signe de stationnement interdit, «Attention ! Chiens méchants»... sont entre autres inscriptions que les «propriétaires» ont pris la peine de placarder sur la porte d'entrée.
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Labels: Business, sinistre, transition, triste
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