Saturday, 12 February 2011
Cela s'est passe un jour/ Aventures, drames et passions celebres
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Cela s'est passe un jour/ Aventures, drames et passions celebres
Les criminels à travers l'histoire (86e partie)
Résumé de la 85e partie n Après la tante de Léon Besnard, c'est le père de Marie qui meurt. Marie recueille sa mère à Loudun. Les gens pensent qu'elle veut s'emparer de son héritage.
Le 2 septembre 1940, la grand-mère de Léon et de Lucie meurt à quatre-vingt-douze ans, deux mois après, c'est le père de Léon qui meurt. Il n'a que cinquante-huit ans et cette fois, on jase à Loudun.
— de quoi est-il mort ? il était bien jeune pour s'en aller !
— il aurait mangé des champignons empoisonnés !
— on a parlé aussi de troubles gastriques !
— et si ce n'étaient pas des champignons ?
— et si quelqu'un avait intentionnellement provoqué sa mort ?
— en tout cas, c'est une mort bizarre !
— il faudra bien qu'un jour, on s'intéresse à ces morts suspectes !
Le 16 janvier 1941, c'est la mère de Léon et de Lucie qui meurt d'une congestion pulmonaire. Léon, qui en veut à sa sœur, qui aurait obligé sa tante à le déshériter ne veut pas voir sa sœur.
— je n'ai rien à faire avec elle !
Lucie, qui réside dans la maison familiale, fait dire à Léon, qu'il n'aura rien de l'héritage paternel.
— ta Marie, lui dit-elle, n'aura rien !
Léon proteste.
— ce sont mes parents à moi aussi !
— ils te détestaient ! Je te le répète : tu n'auras rien !
Léon se met en colère.
— tu n'as pas le droit !
— tu n'auras rien, rien, pas un drap, pas une fourchette, pas une assiette ! Tout est à moi, tout m'appartient !
— tu me le payeras !
— si tu tentes quoi que ce soit contre moi, j'avertirai les gendarmes !
Mais deux mois après, on retrouve Lucie, pendue à un escalier. Léon va expliquer que depuis quelques jours, sa sœur était entrée dans une profonde dépression.
— elle ne supporte plus la solitude ! Mais la rumeur va bon train à Loudun.
— Lucie aimait trop la vie pour se donner la mort…
— peut-être qu'on l'a aidée à mourir…
On va, bien sûr, penser à Léon Besnard.
— on a entendu Léon menacer d'étrangler sa sœur !
— il a aussi menacé son père !
— le père est mort empoisonné et la sœur étranglée !
— il paraît que sous l'escalier où elle s'est pendue, il y a avait un coffre plein d'argent !
— c'est le père qui l'aurait remis à sa fille, avant sa mort, Léon et Marie l'ont su !
— alors, on comprend pourquoi elle meurt si vite… (A suivre...)
Agences de presses
Cela s'est passe un jour/ Aventures, drames et passions celebres
Les criminels à travers l'histoire (86e partie)
Résumé de la 85e partie n Après la tante de Léon Besnard, c'est le père de Marie qui meurt. Marie recueille sa mère à Loudun. Les gens pensent qu'elle veut s'emparer de son héritage.
Le 2 septembre 1940, la grand-mère de Léon et de Lucie meurt à quatre-vingt-douze ans, deux mois après, c'est le père de Léon qui meurt. Il n'a que cinquante-huit ans et cette fois, on jase à Loudun.
— de quoi est-il mort ? il était bien jeune pour s'en aller !
— il aurait mangé des champignons empoisonnés !
— on a parlé aussi de troubles gastriques !
— et si ce n'étaient pas des champignons ?
— et si quelqu'un avait intentionnellement provoqué sa mort ?
— en tout cas, c'est une mort bizarre !
— il faudra bien qu'un jour, on s'intéresse à ces morts suspectes !
Le 16 janvier 1941, c'est la mère de Léon et de Lucie qui meurt d'une congestion pulmonaire. Léon, qui en veut à sa sœur, qui aurait obligé sa tante à le déshériter ne veut pas voir sa sœur.
— je n'ai rien à faire avec elle !
Lucie, qui réside dans la maison familiale, fait dire à Léon, qu'il n'aura rien de l'héritage paternel.
— ta Marie, lui dit-elle, n'aura rien !
Léon proteste.
— ce sont mes parents à moi aussi !
— ils te détestaient ! Je te le répète : tu n'auras rien !
Léon se met en colère.
— tu n'as pas le droit !
— tu n'auras rien, rien, pas un drap, pas une fourchette, pas une assiette ! Tout est à moi, tout m'appartient !
— tu me le payeras !
— si tu tentes quoi que ce soit contre moi, j'avertirai les gendarmes !
Mais deux mois après, on retrouve Lucie, pendue à un escalier. Léon va expliquer que depuis quelques jours, sa sœur était entrée dans une profonde dépression.
— elle ne supporte plus la solitude ! Mais la rumeur va bon train à Loudun.
— Lucie aimait trop la vie pour se donner la mort…
— peut-être qu'on l'a aidée à mourir…
On va, bien sûr, penser à Léon Besnard.
— on a entendu Léon menacer d'étrangler sa sœur !
— il a aussi menacé son père !
— le père est mort empoisonné et la sœur étranglée !
— il paraît que sous l'escalier où elle s'est pendue, il y a avait un coffre plein d'argent !
— c'est le père qui l'aurait remis à sa fille, avant sa mort, Léon et Marie l'ont su !
— alors, on comprend pourquoi elle meurt si vite… (A suivre...)
Agences de presses
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