Saturday, 12 February 2011
L'humidité les éloigne de leur fille
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L'humidité les éloigne de leur fille
«La promiscuité, on peut la supporter, mais les maladies, c'est difficile !», déplore Noureddine, qui occupe un des chalets à la Cité des Grottes, à El-Karma, avec sa femme et ses enfants, deux garçons et une fille. Ces derniers, à cause de l'humidité dont le taux dépasse largement les normes, ont contracté des maladies respiratoires depuis leur installation dans ce chalet. Suite à cela, le médecin a recommandé au couple de confier leur fille aux grands-parents, installés dans une demeure assez éloignée de la côte et où les conditions de vie sont nettement meilleures. «Vous rendez-vous compte que l'un de mes enfants ne peut pas, à trois ans à peine, se passer de Ventoline ! Heureusement que je bénéficie de la carte Chiffa, sinon cela aurait été une catastrophe !», a ajouté Nourreddine.
Notre interlocuteur nous a affirmé que même le beau temps revenu, les choses ne s'améliorent pas. Un réseau d'assainissement des eaux usées conjugué à une hausse des températures, et voilà des insectes de toutes sortes qui font leur apparition.
«On nous a dit au départ que c'était provisoire ! On déploie toute notre patience et l'on colmate comme on peut les brèches avec de la silicone, du polystyrène. Mais jusqu'à quand ?», a poursuivi Noureddine, en insistant sur l'état déplorable dans lequel se trouvent la plupart des chalets.
Agences de presses
L'humidité les éloigne de leur fille
«La promiscuité, on peut la supporter, mais les maladies, c'est difficile !», déplore Noureddine, qui occupe un des chalets à la Cité des Grottes, à El-Karma, avec sa femme et ses enfants, deux garçons et une fille. Ces derniers, à cause de l'humidité dont le taux dépasse largement les normes, ont contracté des maladies respiratoires depuis leur installation dans ce chalet. Suite à cela, le médecin a recommandé au couple de confier leur fille aux grands-parents, installés dans une demeure assez éloignée de la côte et où les conditions de vie sont nettement meilleures. «Vous rendez-vous compte que l'un de mes enfants ne peut pas, à trois ans à peine, se passer de Ventoline ! Heureusement que je bénéficie de la carte Chiffa, sinon cela aurait été une catastrophe !», a ajouté Nourreddine.
Notre interlocuteur nous a affirmé que même le beau temps revenu, les choses ne s'améliorent pas. Un réseau d'assainissement des eaux usées conjugué à une hausse des températures, et voilà des insectes de toutes sortes qui font leur apparition.
«On nous a dit au départ que c'était provisoire ! On déploie toute notre patience et l'on colmate comme on peut les brèches avec de la silicone, du polystyrène. Mais jusqu'à quand ?», a poursuivi Noureddine, en insistant sur l'état déplorable dans lequel se trouvent la plupart des chalets.
Agences de presses
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